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 la lecon de hindi

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AuteurMessage
Gilbert01
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Gilbert01


Date de naissance : 20/02/1957
Age : 67
Localisation : NORMANDIE
Humeur BONNE

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MessageSujet: la lecon de hindi   la lecon de hindi EmptyVen 6 Juin - 14:46

La leçon de hindi
 
la lecon de hindi HinApprendre la langue d'un pays est une excellente façon de s'ouvrir aux mystères et aux subtilités de sa culture, tant du point de vue historique que social. Mais cela peut s'avérer être une tâche bien ardue, surtout quand, comme c'est le cas pour l'Inde, le pays possède une bonne quinzaine de langues principales avec presque autant d'écritures différentes, et plus de 1500 dialectes divers.
     Pour y voir plus clair, on peut déjà diviser les langues indiennes en deux catégories principales : les langues du sud,la lecon de hindi Carte-hindi12 d'origine dravidienne comme le tamil, telugu, malayalam et kannada ; et les langues du nord, d'origine indo-aryenne tels le hindi, bengali, gujarati, marathi, etc. Chacune - à l'exception du hindi - est parlée dans un état en particulier.
C'est le hindi que l'Inde a choisi comme langue nationale du pays, et c'est un peu de cette langue, bien représentative des mouvements culturels de l'Inde, que nous allons découvrir...
     Le hindi est devenu, sans faire de bruit, la deuxième ou troisième langue la plus parlée dans le monde (selon les critères choisis) après le chinois mandarin et l'anglais. Elle est parlée par environ 50 % de la population en Inde, bien qu'elle ne soit la langue maternelle que de 20 % des habitants. Elle n'est pas ou peu utilisée dans le sud où les langues dravidiennes, fortes d'une histoire longue de 2000 ans, ont donné à leurs habitants un fort sentiment d'unité culturelle. Le hindi s'est très largement répandu hors de l'Inde, notamment grâce à l'importante diaspora indienne, conséquence de l'ancienne intégration de l'Inde dans l'empire britannique. En dehors des pays voisins, on trouve donc des locuteurs hindis dans de nombreux pays (Ile Maurice, Afrique du Sud, Yémen, Etats-Unis, Trinité, Fidji, Grande-Bretagne, etc...).
     Le hindi est une langue très vivante, capable d'exprimer une large gamme d'émotions en utilisant des mots nuancés et simples, comme dans la poésie et les chansons. Elle excelle également dans les raisonnements précis et rationnels, notamment sur le plan philosophique. Au-delà de son "exotisme" évident, le hindi ne nous est pas aussi étranger que nous le pensons et possède des points communs intrigants avec nos langues européennes. Car voici une langue où "tu" se dit tum, "deux" do, "sept" sât, "neuf" nau, "dix" das. Que dire également des mots nâm (nom ou name en anglais), mâtâ ou mâtri (mère, mater en latin). Quant à manushya (homme, man en anglais), il fait irrésistiblement penser à manouche, le mot tsigane pour homme.
     Ces ressemblances entre les mots occidentaux et hindi sont les traces d'un lointain cousinage. En effet, il y a des milliers d'années, les langues majeures du nord de l'Inde, de l'Asie Centrale et de l'Europe auraient eu pour origine une langue hypothétique commune, "l'indo-européen", oubliée depuis. Une de ses plus anciennes branches fut le védique, que parlaient les aryens vers 2000 avant J.-C. quand ils s'établirent au nord de l'Inde. Au contact des langues préexistantes se formèrent des langues intermédiaires, les prâkrits (signifiant usuel, populaire), dont le processus de simplification continua jusqu'à donner naissance aux langues actuelles de l'Inde du Nord. Alors que toutes ces langues prenaient forme, deux langues anciennes s'en dégagèrent, le pali, langue de la religion bouddhiste et le sanscrit, né d'une construction artificielle pour élaborer une langue parfaite (samskrta signifiant parfait, civilisé), qui devint très vite la langue des prêtres et des lettrés de hautes castes. Au IVème siècle avant J.-C., l'illustre grammairien Panini fixa les quelques 4000 règles grammaticales qui établirent le sanscrit classique. L'oeuvre de Kalidasa, les fables du Panchatantra, les grands poèmes épiques comme le Ramayana et le Mahabharata ont été écrits en sanscrit. De la religion à la philosophie, en passant par la grammaire, l'étymologie, la lexicographie, l'astrologie, la sociologie, le sexe, la politique, les arts, le sanscrit régnait. Avec une vie glorieuse de plus de 3000 ans, il reste encore vivant aujourd'hui, apparaissant durant les cérémonies hindoues où des versets rituels sont chantés.
     Descendant direct du sanscrit, le hindi commença à émerger au VIIème siècle pour devenir stable vers le Xème siècle. Plusieurs dialectes furent utilisés en littérature, notamment le braj, dans lequel s'exprimait Kabir et d'autre poètes de l'époque médiévale. Il fut remplacé au XIXème siècle par le khari boli qui consacra le hindi moderne. Toutefois, il existe encore beaucoup de "hindis" différents, la langue étant toujours en voie de standardisation, et subissant les nombreuses influences des dialectes et langues voisines.
     L'écriture existe depuis déjà 5000 ans en Inde. Sa plus ancienne forme représente des inscriptions hiéroglyphiques sur des sceaux datant des deuxième et troisième millénaires avant J.-C., retrouvés dans la vallée de l'Indus, berceau de l'antique civilisation du même nom, dans l'actuel Pakistan. Elle n'a à ce jour pas pu être déchiffrée. Un des plus anciens systèmes graphiques indiens, le Brahmi, a donné naissance aux principales écritures du nord de l'Inde. Celle utilisée pour le sanscrit, le hindi et quelques autres langues est le nagari (littéralement urbaine) ou devanagari, (écriture des dieux). Elle s'écrit de gauche à droite et se caractérise par une barre horizontale reliant les lettres. Elle est de type alphabétique avec une dizaine de voyelles et plus de trente consonnes, et ne possède pas de lettres capitales. Cependant, elle a également pu être considérée comme une écriture syllabique du fait de la quasi-fusion des voyelles avec les consonnes grâce à de petits signes (matra) qui viennent se placer au-dessus, au-dessous ou à coté de celles-ci. Ainsi, dans les mots-croisés hindis, si l'on veut faire découvrir namasté (salutation), il n'y aura pas 7 mais 3 cases : na-ma-sté. La morphologie est très riche et la faculté de composition illimitée. C'est aussi une écriture parfaitement phonétique, et un mot bien prononcé pourra toujours être écrit, de même qu'un mot lu pourra toujours être prononcé, même si vous ne le connaissez pas. Ce n'est pas le cas pour le français où le "s" final de souris est silencieux, ni pour l'anglais où le "a" des mots fast et fall se prononce respectivement a et o. Une dictée en hindi n'aurait donc que peu de sens. Il est intéressant de constater que l'ordre des lettres dans l'alphabet recoupe les anciennes règles de phonologie établies par les premiers grammairiens indiens. Ainsi, plusieurs séries de 4 ou 5 lettres se succèdent dans un ordre déterminé par le lieu d'articulation des sons, en l'occurrence de l'arrière à l'avant de la bouche. On note donc que les consonnes ka/ga (vélaires) apparaissent en premier, viennent ensuite les ta/da/na (dentales), et plus loin les pa/ba/ma (labiales).

Les écritures du sud de l'Inde ont une forme généralement beaucoup plus ronde, comme nous le montre l'exemple de la langue malayalam du Kérala. Jadis écrites sur des feuilles de palmiers, les lignes droites horizontales étaient évitées car elles pouvaient couper la fibre de la feuille.

Indiquons également que le système de numération employé de nos jours dans la plus grande partie du monde a probablement été développé en Inde, mais fut dénommé "arabe" car ce sont les Arabes qui le transmirent à l'Occident. Auparavant, les Romains écrivaient le nombre 232 ainsi : CCXXXII, les Egyptiens et les Grecs ayant un système similaire. La contribution indienne fut de substituer à chaque groupe de lettres un signe unique, comme <232>. Mais le système n'était pas exempt de lacunes, car le nombre CCII (202) se lisait alors 22, d'où la nécessité d'inventer un signe représentant le "rien". On ne sait si ce sont les Indiens ou les Arabes qui inventèrent le zéro, mais le problème était dès lors résolu : 202.
la lecon de hindi 012

Le hindi a subi des influences multiples à travers les âges, au gré des colonisations successives. Ainsi, la longue présence moghole en Inde a laissé de nombreux mots arabo-persans dans le vocabulaire, au point d'affubler la langue de nombreux doublets. Par exemple, pour dire "femme" il y a aurat (d'origine persane) ou strî (d'origine sanscrite), "homme" est tour à tour âdmî ou manushya, "livre" kitâb ou pustak, "glace" barf ou him. Il est curieux de noter que dès que le niveau de la langue s'élève, le vocabulaire a tendance à se "sanscritiser". La "bibliothèque" devient ainsi pustakâlay ("le séjour des livres"), tout comme himalaya ("séjour des neiges"). Si les mots d'origine persane sont largement utilisés dans la vie de tous les jours, ils disparaissent complètement du vocabulaire dans les textes philosophiques et religieux qui font la part belle au sanscrit. Il faut noter qu'à l'indépendance de l'Inde, l'antagonisme entre les communautés musulmanes et hindoues déboucha sur la création d'un état musulman séparé, le Pakistan. Cela eut pour effet d'accentuer les différences entre l'ourdou, qui devint la langue officielle du Pakistan, et le hindi. Elles ne sont pourtant qu'une seule et même langue (désignée auparavant sous le terme hindoustani), et ne diffèrent essentiellement que pour le vocabulaire spécialisé et l'écriture – en caractères nagari, de gauche à droite, pour le hindi, et en caractères arabes, de droite à gauche, pour le ourdou. Dans le cinéma populaire hindi, l'hindoustani constitue l'essentiel des dialogues afin de satisfaire aux deux communautés. Incroyablement populaire en Inde, le cinéma hindi reste aujourd'hui, plus encore que l'école ou les plans gouvernementaux, le plus grand vecteur de diffusion de la langue auprès des populations non encore hindiphones.

La colonisation britannique a également eu une large influence sur la langue avec l'intégration grandissante de l'anglais dans la société indienne. D'ailleurs, l'anglais est devenu la seconde langue officielle du pays, largement utilisée dans les classes les plus élevées de la société, dans l'administration, les services, et une grande partie de la presse nationale. De nombreux mots anglais ont donc fait leur entrée dans le vocabulaire hindi, notamment dans tout ce qui relève de la technologie et de l'administration, les deux piliers du rapport britannique à l'Inde. Telephone, radio, TV, bus, car, ainsi que director, doctor, file (dossier) sont autant de mots anglais qui ont été absorbés et modifiés pour s'adapter à la prononciation indienne — hospital devient ainsi aspatâl. Entre 5 et 30 % des Indiens parlent anglais selon le degré d'aisance auquel on se réfère. Il n'est pas rare d'entendre des mots, voire des phrases entières se glisser dans les conversations, surtout dans les classes moyennes et supérieures.
     Le hindi ne s'est pas contenté de subir des influences extérieures, mais a également dispersé dans la langue française quelque mots dont nous sommes peut-être loin de soupçonner la provenance... ainsi "bungalow" (qui vient de bangalâ signifiant "du Bengale"), "pyjama" (pâjâmâ, "pantalon"), "jungle" (jangal, "forêt"), mais aussi "châle", "kaki" ("couleur de poussière"), en sont quelques exemples. D'autres mots hindis comme bazar, fakir, yoga, maharajah, karma, gourou, sari, ont bousculé les frontières linguistiques en Inde et dans le monde pour devenir des termes universellement reconnus du fait de l'imprégnation de la culture indienne à travers le monde.
     Du point de vue de l'apprentissage, la langue possède des caractéristiques intéressantes par rapport au français. Le hindi n'est pas à proprement parler une langue difficile et la maîtrise de son écriture reste aisément abordable. Les difficultés viennent principalement de la richesse du vocabulaire, due au grand nombre de doublets et aux différents niveaux de langage. La prononciation comporte quelques points communs avec notre langue, comme par exemple la présence de nasales (in, on, an), mais elle n'est cependant pas toujours facile à maîtriser. Il existe ainsi une différence entre les voyelles courtes et longues - a et â (aa) - qui est pour les hindiphones très évidente, mais dont la confusion peut être un handicap pour se faire comprendre. La prononciation du h, quand il est associé à une consonne (kha, bha...) est délicate, ainsi que celle des quatre différentes sortes de n, sans parler des consonnes rétroflexes... L'ordre des mots dans la phrase est à peu près inverse de celui du français, et il n'y a pas d'article. Ainsi on dit par exemple : "rouge crayon table sur est". Cela dit, il n'y a pas de verbes irréguliers et la conjugaison est "facile"... même s'il faudra s'accommoder de deux genres différents (masculin et féminin). Une autre curiosité de la langue hindi est la nécessité de devoir apprendre par cœur tous les nombres de 10 à 100, car il n'existe pas de système évident pour les former.
     Dans une langue, les caractéristiques qui nous renseignent sur la vie sociale du pays sont parmi les plus passionnantes. Les importantes divisions sociales qui prévalent en Inde notamment en raison du système des castes, le respect dû aux aînés, et les attitudes de profonde dévotion qui s'expriment à travers la religion, sont autant de facteurs qui trouvent leur écho dans le langage. Par exemple, il existe trois mots pour s'adresser à quelqu'un en hindi : âp (qui correspond au "vous" français), tum ("tu"), et , dont l'usage est délicat car utilisé seulement dans des contextes de très grande intimité ou, paradoxalement, de mépris. L'importance de la famille en Inde trouve également son expression à travers la profusion de termes pour désigner chaque membre de la famille. Ainsi, pour l'oncle maternel on dit mâmâ, mais pour l'oncle paternel, châchâ ; il en va de même pour le grand-père paternel, dâdâ, ou maternel, nânâ, etc. Le mot pour frère, bhâî, est une formule d'adresse très fréquente en hindi, même en l'absence de toute relation familiale. Elle traduit simplement la cordialité, tout comme dîdî ("sœur"), ou, selon l'âge de l'interlocuteur, les mots empruntés à l'anglais uncle et auntie. A cet égard, l'usage du petit vocable est particulièrement intéressant. Employé pour exprimer de manière polie et respectueuse la négation ou l'affirmation, jî nahîn ("non"), jî hân ("oui"), est également placé à la fin des noms pour signifier le respect ou l'affection : pitâ ("père") donne pitâjî, le prénom Gopal devient Gopaljî, etc...
     D'une manière générale, il y a un relatif manque de mots pour exprimer la politesse, particulièrement pour "merci" et "s'il vous plaît". Dans la société indienne, chacun obéit à des règles dictées par la tradition qui rendent parfois l'usage de certains mots superflu. Les Indiens étant des personnes sensorielles et intuitives, les marques de respect et de politesse s'expriment plutôt par des gestes et des attitudes que par des mots : les deux mains jointes comme geste de salut, toucher les pieds de quelqu'un en signe de respect...
     Dans le rapport de soumission et d'autorité qu'appelle le système des castes, la place attribuée à la femme, et l'existence des serviteurs, la relation et le dialogue s'établissent souvent sur de simples mimiques, expressions ou autres signaux para-verbaux. Dans le rapport au temps et à la mort, la société indienne a aussi ses particularismes. Le temps n'y est pas appréhendé de manière linéaire et progressiste, mais cyclique. Pendant longtemps, la civilisation indienne n'a accordé que peu d'importance à son histoire — en témoigne le peu de connaissances que nous avons de l'Inde ancienne. La croyance en la réincarnation, la fidélité à sa caste, à sa famille, à son métier, les aléas des retards dans les transports et dans la vie administrative, donnent aux Indiens une idée du temps bien différente de celle que nous avons en Occident, qualitativement et effectivement. Peut-être est-ce pour cela qu'en hindi le même mot kal est utilisé pour traduire à la fois hier et demain. Le mot le plus courant pour désigner la mort est mrityu, et son équivalent ourdou maut. Etant donné les tabous qui entourent le sujet, on a tendance à s'exprimer par périphrase, comme en français quand on dit : "il a passé, est décédé". En hindi on emploiera l'expression : "la fin (ant) de son corps (deh) est advenue" (dehânt). Une autre particularité du hindi est l'absence du verbe "avoir". Cette "différence" est d'ailleurs partagée par de très nombreuses langues comme le turc, le russe, le romani, les langues berbères, le swahili, etc, au point même qu'on peut se demander si ce particularisme ne se situe pas plutôt du côté des langues qui font usage d'un tel verbe. 
     L'Inde est, ne l'oublions pas, une véritable Tour de Babel. La radio All-India émet en 24 langues et 146 dialectes ; les journaux sont publiés en 34 langues au moins ; 67 langues sont enseignées dans le primaire et 80 dans les cours d’alphabétisation.(1) Cette étonnante coexistence linguistique n'a été possible que grâce à la longue tradition indienne du multilinguisme. Face à l'importance grandissante de l'anglais, vu comme la langue de la modernité, du développement, et symbole d'un certain statut social, la pérennité de cette tradition, à la source de la diversité culturelle en Inde, est la garantie d'un épanouissement harmonieux de la société.
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